Le pensionnaire de Jean-Michel Baudouin n’a connu qu’une fois les joies du succès, en fin d’année de trois ans, sur le parcours classique. Victime ensuite de deux longues interruptions de carrière, il a soufflé le chaud et le froid mais donne toujours sa pleine mesure lorsqu’il peut évoluer sans ses fers. Après deux courses de rentrée nécessaires, il est sur la montante et mérite d’être suivi avec intérêt.